DE TES PLEURS QUI COULENT DANS TES YEUX  
 

 A LA TRISTESSE QUI FOND DANS TON COEUR 
 

 IL EN EFFACE TES CRAINTES TES PEURS  
 

 DE CET ENFER IL TE LIBERE  
 

DE SA MAIN DE LA PURETE 
 

IL SOIGNE TES PLAIES DE L'AME  
 

FAISANT DISPARAITRE LES SOUVENIR 

 CEUX QUI T'INFLIGE TANT DE MAL  
 

A TRAVERS L'UN DE CES BAISERS  

 IL DEPOSE L'AMOUR EN TON ETRE 

 PAS CELUI QUI DECHIRE L'ESPRIT 

  TEL UN BREUVAGE IL T'APPORTE

  L'APAISEMENT DE TA DOULEUR

 IL N'EST PAS DES ABIMES DE CETTE TERRE 

  N'AYANT PAS CHOISIT LE DIABLE 

  IL N'EST PAS DANS L'ANTRE DU CIEL  

  CAR IL DOIS GAGNER SON REPOS  
 

DIEU LUI A SOUFFLER SA MISSION  
 

 ALORS IL TE SOURIE FAIT LUI CONFIANCE  
 

 NE VOIT PAS EN LUI UN ENNEMI  

  MAIS PLUTOT UN ALLIE EN TA FORCE  
 

ALORS IL TE L'AVOUE  
 

 LE JOUR LEVANT  

 IL EST UN ANGE TON ANGE 
 

CELUI QUI DOIT CALMER TES PEURS  
 

CHASSER L'OMBRE  
 

QUI DORS DANS TES ENTRAILLES  
 

SON AMOUR EST PUR SANS ECLAT  
 

LA TRAHISON N'EST PAS DE SA VERTU 

  IL TE LE DIT UNE DERNIERE FOIS  
 

 IL EST UN ANGE TON ANGE  
 

 QUE LA MORT TA ENVOYER  

  COMME POUR TE PROTEGER  
 

 DE CETTE CRUAUTE HUMAINE! 

Désoler de t'aimer de cette manière,

Avec une telle force de sentiments,

L'amour ne peut pas se contrôler,

Il ne fait qu'évoluer avec le temps,

A travers nos quatre veines,

Au point d'en perdre la raison de sois,

La jalousie est une sensation logique,

Quand on s'attache sans compter,

C'est comme vendre son âme,

Sans même y prêter attention,

De la peine engloutie,

Aux larmes déverser,

De ces instant de joie,

Au moment de souffrance,

Et tous ces souvenirs graver,

Des premiers moments passer,

A se découvrir pour s'aimer,

Où se mêlent ces gestes d'attention,

Au baisers langoureux,

Que l'on donne sans réfléchir,

De ces mots d'amour que l'on souffle,

Parler d'avenir ensemble,

Tout en ayant peur des jours à venir,

Commencer à y croire pour avancer,

Franchir ces barrières pour être moins méfiante,

Mais quand soudain tout se brise,

La douleur ne tarde guère,

Pleurer seule par peur de te perdre,

Par manque de cette affection,

Qui réchauffer mon cœur encore fragile,

Besoin d'être r'assurer dans creux de tes bras,

Loin de ta présence je me languie de ton absence,

Alors oui j'ai apprit à t'aimer au fils des mois,

Mais pas pour avoir aussi mal aujourd'hui,

Alors regarde-moi,

Parle-moi,

Comme tu le faisais avant,

Aime-moi avec autant de passion,

Sans me laisser pleurer des heures du rentes,

Car je t'aime fort mon bébé,

Et je vois plus ma vie future,

Que dans l'antre de ton cœur !

jes crue a ces paroles a son affection je suis tromper!

j'es cru en un homme ki fesait ke mentir comment on peut prétendre aimer passionnément

pendant 8mois et faire soufrir pendant 6 mois et chuchoter kon cé lasser! jespère kun jour tu

sera aimer!! mais je pourrais jamais être ton amie dsl!

CONTRE LE MUR DE CETTE RUELLE,

UNE SCENE SE DESSINE,

UNE HISTOIRE A FAIT BASCULER,

LA VIE D'UNE ENFANT,

INNOCENT A TES YEUX,

EUX SANS AUCUNE MORALITE,

L'ONT COLLE CONTRE LE MUR,

SANS PRENDRE CONSCIENCE,

DE LEURS ACTES,

L'ONT ROULES DE COUPS,

SANS LUI LAISSER DE CHANCE,

LE SANG SAIT MIT A COULER,

SANS QUE RAISONNE LE MOINDRE SON,

ETOUFFEMENT DE LA SOUFFRANCE,

TOI TU N'AS PAS BOUGE,

LE MOINDRE MEMBRE,

LES YEUX EBLOUIES PAR L'HORREUR,

A PARALYSER TON ETRE,

APRES LE DEPART DE CES VOYOUS,

TU AS REGARDE,

CE PETITE CORPS ALLONGE,

SUR CE SOL GLACE,

LE PRENANT DANS L'ANTRE DE TES BRAS,

TE METTANT A GENOUX,

UNE DERNIERE LARME DECOULE,

DE SON REGARD QUI S'ETEINS,

DANS CETTE ETERNITE SOMBRE,

IL SAIT ENDORMIT EN SILENCE,

QUE SONNE L'HEURE DE GRACE,

L'ENFANT TOMBERA DANS L'OUBLI,

AUX MILIEU DE CES PENSEES

DE CET ETRE IMMORALE,

EN REVANCHE TOI QUI SERRE,

CE CORPS EN SANGLOTE,

FAISANT COMME UNIQUE PRIERE,

DE VENGER CETTE AME DE L'INNOCENCE,

EN RAISON QUE CE PETIT,

AURAIS PUS ETRE LE TIEN,

DEPOSANT UN DERNIER BAISER,

SUR SON FRONT DEJA GLACER,

ET QUI GARDERA EN TON AME,

CETTE VISION,

SUR CE FLOT D'AMERTUME !

A LA PENOMBRE DE LA NUIT,

AU SILENCE DE CE NOIR TOMBER,

A L'OMBRE DU HASARD,

DEUX AMES SE CROISENT,

DISCUTIONS SANS ATTACHEMENT,

PREMIERE SENSATION RESSENTIE,

SOUFFLE DE BRAISE,

UN ETRE SE VEUT DIFFERENT,

A TRAVERS CE MONDE VIRTUELLE,

PUIS AU FIL DES SECONDES,

IL PENETRE SA CURIOSITE,

UN ATTARDEMENT SERAIT DE RIGUEUR,

AU DEFILEMENT DES MINUTES,

IL L'INTRIGUE RETENANT SON ATTENTION,

ENVIE DE PERCER PLUS EN PROFONDEUR,

POUR DEVINER SAVOIR CE QUE CACHE,

L'ABIME DE SON ESPRIT,

LES MOTS SE MODULE SE GLISSENT,

AU MILIEU DE CE MONDE VIRTUELLE,

SOUPÇON DE MYSTERE VOULUT,

L'ILLUSION PREND FORME,

ALORS TOI QUI POSSEDES DANS TON CŒUR,

TANT D'INTERROGATION DE VOULOIR SAVOIR,

COMPRENDRE SON RESSENTIE,

TU TE DEVRAS D'ANALYSER,

DANS LES FLAMMES DES CES PHRASES,

TU DECOUVRIRAS CE QUE TU VEUX SAVOIR,

LA CONFIANCE L'ESTIME,

NE SE GAGNE PAS FACILEMENT,

TOI QUI TE VEUT CHARMANT GENTIL,

LAISSE LE TEMPS FAIRE SON ŒUVRE,

C'EST LUI QUI TE SOUFFLERA TENDREMENT,

SI SON AME FINIRA PAR T'APPRECIER,

ALORS SEULEMENT LA LES PORTES,

DE SONT ESTIME DE SERONT OUVERTES !

grandissant dans ce même lieux,

deux êtres se construisent,

a tes yeux,

petite fille adorable,

tu calques ces joies,

a travers ton affection,

que tu lui transmet,

douceur d'un ces sourires,

au milieu de cet orage,

complicité de deux soeurs,

a l'ombre des soupirs,

où régne que la haine,

voilà,que la main du mal,

s'abaisse sans relâche,

me frappant,

devant ces yeux étonner,

pendant que cette douleur,

ne fesait que passée,

voulant jouer,

elle te tendait la main,

venant le soir,

l'admirant dormir,

me demandant soudain,

de quoi tes rêves étaient fait,

de ces nuits,

me terrifiant terriblement,

là où rideau ne voulait pas tomber,

evoluant sur des bases,

un peu trop différente,

a travers le temps,

vous restiez unis,

devant cette histoire,

le jour banal est arriver,

celui de mon départ de cet enfer,

pour pouvoir gagner,

ma délivrance de ce cauchemard,

devants tes yeux de sanglots,

ta peine ce bousculer,

a la porte de ma conscience,

mais cette petite fille ma soeur,

serait plus tard que cette vie,

l'éloignement serait mon amas de paix!!!!