• TOI QUI MA BRISER LE COEUR

    FAIT SAIGNER MES VEINES

    DEGOUTER D AIMER

    REDONNER UN NOUVEAU DEPART

    L AMOUR EST SI FRAGILE

    ARRETE DE JOUER AVEC

    NE SOIT PAS INSOLENT

    FASSE A TES SENTIMENTS

    MOI JE TE PARDONNE

    MES SANS TRACES D OUBLIE

    REGARDE JE SUIS FATIGUEE

    DE DEVOIR CROIRE ENCORE

    AUX PAROLES QUE TU PRENONCES

    AUJOURD HUIT ON EST LOIN

    L'UN DE L'AUTRE

    ALORS COMMENT Y CROIRE

    SI C EST POUR ETRE ENCORE DECUS

    TU PARLES MARIAGE

    MAIS MOI JE NE VEUX PLUS REVER

    JE T ES REPRIS DANS MA VIE

    JE T AIME MALGRE TOUT

    ALORS NE ME DEMANDE PAS PLUS

    TU AS BRISER TOUT RESTE A DEUX REPRISE

    LAISSE LE TEMS SOIGNER LA FEMME

    QUI SAIT PLUS QUOI PENSEE

    DE TOUT CETTE HISTOIRE !

     


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  • Toi qui t'agenoux,

    Devant l'ange du pardon,

    Tu parles de noblesse,

    Dans un gant de sagesse,

    Alors que ton âme,

    A le goût de l'impure,

    Tu te dresse,

    Pourtant tu rabaisse la tête,

    Ton regard fuit,

    Sans osé croisé le sien,

    De sa main,

    Il effleure ton visage,

    Qu'elle A la porter de ces mots,

    Qans les fond de tes entrailles,

    Devant l'illusion de l'inconnue,

    Tu as sucombé,

    Es-ce une goutte de sant,

    Qui découle de tes yeux,

    Alors fixe son reflet,

    Dun de ces baisers,

    Il désanvoute ta conscience,

    Alors que gronde,

    La liberté de ton courage,

    D'avoir oser pêcher les lois,

    Qui sont de mise,

    Dans l'antre de sa demeure,

    Il t'offre l'éternité,

    De l'amour de cette femme,

    Que ton coeur c'est éprit,

    Il te donne le droit,

    De redevenie un simple mortelle!


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  • Que s'ouvre l'antre de ton coeur,

    Perçois les morssures,

    Laisser par les traces,

    De la souffrance du temps,

    Plonge dans ton esprit,

    Afin de réussir a faire fuir,

    Le fantôme de ta douleur,

    Apperçoit le reflet de ton âme,

    Pour chasser le démon,

    De ton enveloppe charnelle,

    De ta stupeur d'effroie,

    Faisant ta force obscure,

    Pour arriver a avancer,

    Dans le passage de la vairité,

    L'ange se dresse devant ton être,

    Pour t'absoudre des tes fautes,

    Mais tu dois avant tout,

    Admettre tes pêchers,

    Alors coule le sang,

    Sur l'agonie de ton souffle,

    Embrasse cette terre,

    Qui t'acceuille,

    Tel son enfant,

    Au dernier jour,

    De ton existance!

     

     


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  • Tu frémis sous le son de ma voix,

    Croyant que l'amour,

    A le gôut de la souffrance,

    Dans l'antre de mon enfer,

    Tu y replonge,

    Eclat de larmes au coin de l'oeil,

    Au-delà de cette colère soufflante,

    Ton corps meurt sous le désir,

    La douleur te rend dossile,

    Tel un ange appeurait,

    Qui cherche le réconfort,

    Tu sémes des pardons,

    Que je balaye sans regret,

    Ton regard est un flot,

    Un amas de douleur,

    Je suis ton mal mélangait de plaisir,

    Ton coeur bat sans réfléchir,

    Effaçant ta logique,

    La peur perce ton âme,

    Goutte de sang,

    Qui claque sur le sol,

    Et toi qui pleure,

    Sur ce par terre glacial,

    De tristesse,

    Le diable c'est emparait,

    De ma conscience,

    Blessant l'amour,

    Détruisant ton l'être,

    Qui disparaît de mon reflet,

    Je m'allonge,

    Dans cette marre rouge,

    Pauvre mortelle en deuil,

    De ces propres sentiments,

    A travers la mort!


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  • Une âme torturé,

    Fatiguée par le temps,

    Cherche le chemin,

    Qui doit la conduire,

    A sa propre liberté,

    Prisonnière de cette terre,

    Elle veut sans échappée,

    Le long de sa simple vie,

    Elle a apprit l'amour,

    Le gôut de la tendresse,

    A éprouver toute la peine,

    A ressentie la douleur,

    A travers les épreuves,

    Elle a versée des larmes de sang,

    Mais tout en sachant rester forte,

    L'humaine qu'elle était,

    A détestée sa vie terestre,

    Alors elle voudrait juste,

    Trouver cette route,

    Afin d'oublier,

    Tout ces sentiments,

    Qui appartient a cette terre,

    Fréquenter par cette race humaine!


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